Le Gars En Guzz

OK, en fait c'est une vraie bonne idée, désolé j'ai été perturbé par un Animal

Non mais je parle de vis avec tête BTR pour remplacer les vis de GoPro ^^

Bonjour Rixhem, bon rétablissement
 
Concernant ta dernière vidéo, les images sont vraiment de très bonne qualité.
Concernant ta mésaventure, en plus de ce qui a été illustré sur les trajectoires et le reflex de prendre le frein avant, j'ajouterai que le regard est primordial. Lorsque que tu as vu la voiture arriver en face, tu as du te focaliser sur le fossé, et ta moto a été là ou tu regardais, le fossé.
 
Pour ce qui est de prendre de l'expérience, n'hésite pas à rouler derrière des motards plus expérimentés et sur des routes dégagées. il y en a quelques unes dans les cols Vosgiens.
Une route à chèvre, en forêt, à la sortie de l'hiver, c'est rajouté de la difficulté.
 
En tout cas merci pour ton investigation sur les problématiques de dégradation de la qualité vidéo au chargement Youtube, ça faisait deux semaines que je galérais lors de la mise en ligne de vidéos, remettant en cause la caméra, les réglages, le logiciel de montage.
 
 
 
 

Merci à tous pour l'accueil
 
Les photos de famille par ordre d'arrivée
 
Honda CB750 Bol d'Or 1982 :  la première, souvenir des mythiques courses du championnat US Superbike des années 80
 

 
 
Kawasaki Z1000 1978 : Une vraie moto à la Joe Bar Team
 

 
 
Moto Guzzi 1200 Sport : Rustique avec un gros cœur et du caractère, c'est tout moi 😉
 

 
 
Triumph Daytona 955I 2006 : Crise de la quarantaine
 

 
 
Honda CB1000R 2010 : Efficace en toutes circonstances
 

 

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Les photos de famille par ordre d'arrivée
 
Honda CB750 Bol d'Or 1982 :  la première, souvenir des mythiques courses du championnat US Superbike des années 80
 

 
 
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Moto Guzzi 1200 Sport : Rustique avec un gros cœur et du caractère, c'est tout moi 😉
 

 
 
Triumph Daytona 955I 2006 : Crise de la quarantaine
 

 
 
Honda CB1000R 2010 : Efficace en toutes circonstances
 

 

Matin de Noël

 
 

Contrairement à une moto moderne ou le jeu au soupape est assuré par une pastille, sur les Guzzi c'est à l'ancienne, écrou / contre écrou d'où la vérification qui est très rapide, 4 vis du cache culbuteur à enlever et passer la cale, vu la disposition du moteur c'est très accessible.

Contrairement à une moto moderne ou le jeu au soupape est assuré par une pastille, sur les Guzzi c'est à l'ancienne, écrou / contre écrou d'où la vérification qui est très rapide, 4 vis du cache culbuteur à enlever et passer la cale, vu la disposition du moteur c'est très accessible.

Matin de Noël

 
 

C'est bien le drame, pourtant c'est une marque au passé glorieux, 6 titres de champion du monde, onze victoires au TT, les premiers à utiliser une soufflerie pour améliorer l'aérodynamisme, la conception d'une 500 V8 , mais c'était dans les années 50.
Contrairement à une entreprise comme Triumph, revenu de l'au-delà économique dans les année 80 grâce à son sémillant patron John Bloor, les différents repreneurs de Guzzi n'ont jamais mis les moyens ni eu l'ambition de redévelopper la marque, mise à part peut être Aprilia.
Pourtant les bases sont là, une histoire riche, une signature visuelle unique, un bon capital sympathie, un marché de la moto demandeur de machine "unique" mais faut il encore y mettre de la passion.
 
Je confirme, la V7 est une machine vraiment sympa, la même avec un bloc un peu plus velu et je signe tout de suite   😚.
 
 
 

Je pense être au bon endroit pour faire mon retour d'expérience sur Moto Guzzi.
 
Je roule en Moto Guzzi 1200 sport (modèle 2007) depuis 10 ans et la moto à maintenant 38000 km, autant dire que pour une Guzzi, elle est à peine rodée.
La Sport est une déclinaison de la Bréva 1200. La gamme 1100 puis 1200 (Bréva, Sport, Norge, Stelvio, Griso) a été lancée peu après la reprise de Guzzi par Aprilia.
Elle venait en complément de la California 1100 et redonnait un peu souffle à cette vénérable marque.
 
Le moteur est une évolution du bloc de la V11, dernière "vraie" Guzzi pour les puristes et reprend les fondamentaux de la marque : bicylindre en V face à la route, 2 soupapes par cylindre culbutées, refroidi par air et huile, développant 95 CV.
Pas de problèmes notoires sur ces motos aux mécaniques simples. Mise à part le capteur de pression d'huile que j'ai du changer deux fois (10€ pièces) et le câble d'alimentation du solénoïde de démarreur un peu juste occasionnant un refus de démarrer à chaud (vive la poussette), rien à signaler. J'ai pu lire sur le forum Guzzi (source inépuisable de conseils et d'infos) quelques problèmes de buée dans les compteurs et d'un modèle de joint cache culbuteur un peu faiblard.
Une vidange moteur et réglage du jeu aux soupapes tout les 10 000 km, j'ai fait faire celle de la boîte (séparée) et du cardan à 20 000. Durites aviation, freinage et jantes Brembo, disques VBrake, belle dotation d'origine, nombreuses de ces machines passent allégrement les 100 000 km.
 
En 2009, Guzzi lance un nouveau bloc 1200 à 4 soupapes par cylindre et distribution par arbres à cames et poussoirs sur l'ensemble de sa gamme. Le moteur prend une dizaine de chevaux, perchés un peu plus haut dans les tours, lui donnant un tempérament plus sportif.
C'est là que les ennuis commencent. La pression des deux ressorts de rappel de soupape sur le poussoir et la came entraîne une usure prématurée de ceux-ci nécessitant un changement complet de la distribution. Certaines motos n'ont jamais eu de problèmes d'autres étaient touchées à 10 000 km.
Guzzi mettra deux ans pour corriger le problème en remplaçant les poussoirs à godets par des poussoirs à rouleaux, c'est d'ailleurs ce qui est monté sur le 1400 de la California.
Il existe des kits pour modifier les anciennes distributions, point à vérifier si vous achetez une 1200 8V.
 
Le reste de la gamme V7, V9 et maintenant V85 sont fidèles à leurs origines : 2 soupapes culbutées
 
 
Poussoir à godets                                                                                                                                                     Poussoirs à rouleaux
                               
 
 
Depuis, la gamme 1200 a été arrêtée. Piaggio, qui a récupéré Guzzi en rachetant Aprilia, n'a pas jugé nécessaire la mise aux normes de ce bloc, ce qui est bien dommage, surtout quand on voit succès de la gamme Nine T de BMW. D'ailleurs le principal problème de Guzzi c'est bien Piaggio, qui laisse la marque vivoter alors qu'elle aurait le potentiel de faire bien mieux, surtout en plein boom du néo rétro.
 
La V85 sera-t-elle le début d'une nouvelle gamme, doit on attendre un nouveau bloc 1200, verra-t-on une Le Mans 2.0 sur les routes.
 
Il n'y a plus qu'à attendre et prier la madone de Mandello del Lario 😌
 
 
 
 

Je pense être au bon endroit pour faire mon retour d'expérience sur Moto Guzzi.
 
Je roule en Moto Guzzi 1200 sport (modèle 2007) depuis 10 ans et la moto à maintenant 38000 km, autant dire que pour une Guzzi, elle est à peine rodée.
La Sport est une déclinaison de la Bréva 1200. La gamme 1100 puis 1200 (Bréva, Sport, Norge, Stelvio, Griso) a été lancée peu après la reprise de Guzzi par Aprilia.
Elle venait en complément de la California 1100 et redonnait un peu souffle à cette vénérable marque.
 
Le moteur est une évolution du bloc de la V11, dernière "vraie" Guzzi pour les puristes et reprend les fondamentaux de la marque : bicylindre en V face à la route, 2 soupapes par cylindre culbutées, refroidi par air et huile, développant 95 CV.
Pas de problèmes notoires sur ces motos aux mécaniques simples. Mise à part le capteur de pression d'huile que j'ai du changer deux fois (10€ pièces) et le câble d'alimentation du solénoïde de démarreur un peu juste occasionnant un refus de démarrer à chaud (vive la poussette), rien à signaler. J'ai pu lire sur le forum Guzzi (source inépuisable de conseils et d'infos) quelques problèmes de buée dans les compteurs et d'un modèle de joint cache culbuteur un peu faiblard.
Une vidange moteur et réglage du jeu aux soupapes tout les 10 000 km, j'ai fait faire celle de la boîte (séparée) et du cardan à 20 000. Durites aviation, freinage et jantes Brembo, disques VBrake, belle dotation d'origine, nombreuses de ces machines passent allégrement les 100 000 km.
 
En 2009, Guzzi lance un nouveau bloc 1200 à 4 soupapes par cylindre et distribution par arbres à cames et poussoirs sur l'ensemble de sa gamme. Le moteur prend une dizaine de chevaux, perchés un peu plus haut dans les tours, lui donnant un tempérament plus sportif.
C'est là que les ennuis commencent. La pression des deux ressorts de rappel de soupape sur le poussoir et la came entraîne une usure prématurée de ceux-ci nécessitant un changement complet de la distribution. Certaines motos n'ont jamais eu de problèmes d'autres étaient touchées à 10 000 km.
Guzzi mettra deux ans pour corriger le problème en remplaçant les poussoirs à godets par des poussoirs à rouleaux, c'est d'ailleurs ce qui est monté sur le 1400 de la California.
Il existe des kits pour modifier les anciennes distributions, point à vérifier si vous achetez une 1200 8V.
 
Le reste de la gamme V7, V9 et maintenant V85 sont fidèles à leurs origines : 2 soupapes culbutées
 
 
Poussoir à godets                                                                                                                                                     Poussoirs à rouleaux
                               
 
 
Depuis, la gamme 1200 a été arrêtée. Piaggio, qui a récupéré Guzzi en rachetant Aprilia, n'a pas jugé nécessaire la mise aux normes de ce bloc, ce qui est bien dommage, surtout quand on voit succès de la gamme Nine T de BMW. D'ailleurs le principal problème de Guzzi c'est bien Piaggio, qui laisse la marque vivoter alors qu'elle aurait le potentiel de faire bien mieux, surtout en plein boom du néo rétro.
 
La V85 sera-t-elle le début d'une nouvelle gamme, doit on attendre un nouveau bloc 1200, verra-t-on une Le Mans 2.0 sur les routes.
 
Il n'y a plus qu'à attendre et prier la madone de Mandello del Lario 😌
 
 
 
 

Si ta short-list n'est pas encore arrêtée, une moto comme l'Aprilia Shiver pourrait répondre à ton cahier des charges, moteur bicylindre, look sympa à la Ducati, (cadre treillis rouge), position de conduite droite, largement dans ton budget pour la 750(choisir un modèle d'après 2010, ses défauts de jeunesse aillant été corrigés), elle existe en version GT, plus orientée routière.
En 2018, Aprilia a ressorti sa Shiver en 900 cm3 éligible A2, mais là on est plutôt sur la fourchette haute du budget.
 
Shiver 750

 
 
Shiver 900
 

 
 
 
 

Matin de Noël

 
 

Matin de Noël

 
 

Matin de Noël

 
 

Il fait frais aujourd'hui !

Matin de Noël

 
 

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Moto Guzzi 1200 Sport : Rustique avec un gros cœur et du caractère, c'est tout moi 😉
 

 
 
Triumph Daytona 955I 2006 : Crise de la quarantaine
 

 
 
Honda CB1000R 2010 : Efficace en toutes circonstances
 

 

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Honda CB750 Bol d'Or 1982 :  la première, souvenir des mythiques courses du championnat US Superbike des années 80
 

 
 
Kawasaki Z1000 1978 : Une vraie moto à la Joe Bar Team
 

 
 
Moto Guzzi 1200 Sport : Rustique avec un gros cœur et du caractère, c'est tout moi 😉
 

 
 
Triumph Daytona 955I 2006 : Crise de la quarantaine
 

 
 
Honda CB1000R 2010 : Efficace en toutes circonstances
 

 

Bonjour à toutes et tous

Je m'appelle Vincent, j’ai 45 ans, je réside non loin de Nancy et je suis officiellement motard depuis 1996. Avant le tampon qui va bien, j'écumais les chemins de traverse au guidon d'une 250 Jawa 2 temps.

J'ai commencé sur une Honda 750 Bol d'or de 1981, tout récemment vendue à un p'tit jeune né en 1988.
Celle ci fut secondée un temps par une Kawa Z1000 de 1978 légèrement torréfiée (le démarrage au kick, un vrai bonheur, quoi que) et depuis 2009, par une Moto Guzzi 1200 Sport (Que j'aime entendre le son du bi-cylindre, le soir, au fond des bois).

Il y a cinq ans, crise de la quarantaine oblige, je cherche une moto sportive, mais pas trop (je roule en Guzzi, faut pas l’oublier), pour gouter aux joies des guidons bracelets. Très vite, je jette mon dévolu sur une Triumph 955I Daytona de 2006. Le coté "so british" et le trois cylindres, un vrai régal.

En 2017, je me décide enfin à réaliser un rêve, toujours reporter pour de plus ou moins bonnes raisons : faire le Moto Tour. La Dayto est revendue au profit d'une Honda CB1000R qui sera légèrement préparée pour le rallye routier. De cette semaine de course, il me reste pleins de souvenirs, quelques photos et pas de vidéos, dommage.
 
2019, j'envisage donc de me lancer dans le motovlogging, histoire de partager les paysages, les rencontres,bref, toutes ces belles choses que l'on voit en roulant en moto, d'où ma présence sur ce site, à la recherche de conseils pour débuter.
 
Je profite de cette présentation pour vous souhaiter une très bonne année 2019 et plein de réussite dans vos projets.
 
Bonne route
 

 

Une très bonne Sport GT avec laquelle il est possible d'avaler les kilomètres, par contre d'origine, qu'est ce que ça tire long.
 
 
 

 
 

Je confirme, c'est une semaine très intense. En 2017 l'organisation avait été sympa en ramenant la journée marathon à 750 km contre 950 km l'année précédente, 15 heures quand même pour rallier Issoire à Toulon, au roadbook, par des routes improbables. En contre partie c'était en fin de semaine, après la journée sur circuit et avec un départ à 4h30.
Malheureusement les éditions 2019 (France et Tunisie) sont annulées. Il reste les manches du championnat de France des rallyes pour retrouver cette ambiance sur un week-end
 
J'ai retrouvé le site de photos.
Attention, le visionnage de ces photos donne une furieuse envie d'enfiler une combarde et de coller un numéro sur sa moto 😁
 
http://photospolo.wixsite.com/htlm5/moto-tour-2017

Bonjour à toutes et tous

Je m'appelle Vincent, j’ai 45 ans, je réside non loin de Nancy et je suis officiellement motard depuis 1996. Avant le tampon qui va bien, j'écumais les chemins de traverse au guidon d'une 250 Jawa 2 temps.

J'ai commencé sur une Honda 750 Bol d'or de 1981, tout récemment vendue à un p'tit jeune né en 1988.
Celle ci fut secondée un temps par une Kawa Z1000 de 1978 légèrement torréfiée (le démarrage au kick, un vrai bonheur, quoi que) et depuis 2009, par une Moto Guzzi 1200 Sport (Que j'aime entendre le son du bi-cylindre, le soir, au fond des bois).

Il y a cinq ans, crise de la quarantaine oblige, je cherche une moto sportive, mais pas trop (je roule en Guzzi, faut pas l’oublier), pour gouter aux joies des guidons bracelets. Très vite, je jette mon dévolu sur une Triumph 955I Daytona de 2006. Le coté "so british" et le trois cylindres, un vrai régal.

En 2017, je me décide enfin à réaliser un rêve, toujours reporter pour de plus ou moins bonnes raisons : faire le Moto Tour. La Dayto est revendue au profit d'une Honda CB1000R qui sera légèrement préparée pour le rallye routier. De cette semaine de course, il me reste pleins de souvenirs, quelques photos et pas de vidéos, dommage.
 
2019, j'envisage donc de me lancer dans le motovlogging, histoire de partager les paysages, les rencontres,bref, toutes ces belles choses que l'on voit en roulant en moto, d'où ma présence sur ce site, à la recherche de conseils pour débuter.
 
Je profite de cette présentation pour vous souhaiter une très bonne année 2019 et plein de réussite dans vos projets.
 
Bonne route