Encore un point où le bât blesse : si l'on en croit le site de Liberty Rider, les services en question se composent uniquement de quatre personnes. Ces quatre étudiants sont au demeurant fort sympathiques mais on ne peut tout de même pas leur imposer, même s'ils se relaient ente eux, d'assurer 24h/24h, 7j/7j une astreinte de surveillance des appels reçus et ceci sans rémunération.
Comme disait Coluche : « C'est que ça mange, un doberman ! ». Et un jeune non seulement ça mange mais en plus, pour garder un œil vif et un poil soyeux, il faut que ça sorte s'ébrouer dans la campagne, rouler à moto, aller en boîte de nuit, mange du Macdo, jouer à COD etc. Pour faire tout cela, il faut du temps et de l'argent.
Comme le souligne Manu dans l'interview, il faut que cette application bénéficie d'un partenariat pour être viable tant du point de vue financier que logistique.