Ushiran

Commande passée à l'instant sur wemoto, merci pour les conseils

Merci à tous pour vos réponses ! Avec ça si je ne trouve pas mes pièces... Je ferai un petit photo-reportage ici à défaut d'un vlog si ça intéresse des gens qui voudraient faire leur entretien

Merci pour l'info, ça semble bien convenir

Hello ! Petite question toute bête : ayant l'habitude de m'occuper de la mécanique sur mes voitures, je vais faire de même sur ma moto fraîchement acquise : une Yamaha Fazer FZ6 de 2006, qui attend sa révision des 40.000 kms. Étant nouveau dans le monde de la moto, j'aurais aimé savoir si vous aviez un site ou une enseigne à me conseiller, qui me permettraient de trouver les pièces adaptées à ma moto, à l'image d'oscaro ou de API pour les pièces auto (j'ai essayé motoblouz par exemple, mais même en renseignant le modèle de moto on me propose par exemple des filtres de diamètre différent) ? À moins que les concessionnaires moto soient moins voleurs que les concessionnaires auto et qu'il soit possible de prendre les pièces chez Yamaha sans lâcher un rein ? Merci d'avance pour vos tuyaux

Merci à vous Et bravo à toi aussi du coup Jp31 (et aux autres, après tout il n'y a prescription ) J'en suis bien conscient oui ! Encore plus que pour le permis B où les erreurs étaient moins conséquentes et surtout où on pouvait bénéficier de la conduite accompagnée. Je pense même qu'on peut continuer à apprendre toute sa vie, on n'est jamais à 100% !

Au commencement, il n'y avait rien. Même pas de 50cc ou de 125 pour se faire la main. Tout juste un peu de 2 roues non motorisés et de boîtes à 4 roues, qui, en dépit de leurs qualités certaines, ne seront pas mentionnées ici par respect du lectorat. En fait, le commencement arriva sur un tard. Après 26 ans dans une famille hermétique (si ce n'est allergique) au monde exotique de la motocyclette, la décision vint, en parcourant les belles routes auvergnates et en constatant que tous ces drôles de gens habillés de cuir avaient tout de même l'air de prendre un sacré kiff au guidon de leurs engins vrombissants, de s'intéresser d'un peu plus près à ce monde. La magie des algorithmes de recommandations d'un certain géant américain de l'hébergement de vidéos aida, avec la suggestion de vidéos où des gens habillés de cuir, en plus de prendre un sacré kiff au guidon de leurs engins vrombissants, se filmaient pour en faire profiter les autres. Et même à travers un écran, leur passion était contagieuse… Ce fut donc un samedi matin de janvier que, après avoir pris quelques renseignements dans une école recommandée par des collègues et des internautes, je posais pour la première fois mon séant sur l’un de ces vrombissants engins. Bon, c’était sur le petit bout de selle derrière le pilote, et la monture n’était animée que par un petit moteur de 125cc qui peinait un peu à traîner ses deux passagers, mais quand même, c’était quelque chose. Une fois arrivé sur la piste, apprentissage des commandes, premières notions de position, d’équilibre, de contrebraquage, quelques demi-tours et slaloms, et nous voilà parti sur la route ! J’étais raide comme un piquet, je me traînais, et pourtant… Les odeurs, le son, le vent, la sensation d’espace et de liberté… Ok je signe pour une formation permis Âte de l’avoir. Je me voyais déjà rouler en moto pour la fin du printemps, mais il fallut d’abord refaire de longues heures théoriques et rébarbatives de code avant de n’avoir une place pour le passer que fin mai. Les premières leçons de plateau n’arrivèrent qu’à mi-juin, sur une CB-500 puis une MT-07. Beaucoup de plaisir malgré les exercices forcément répétitifs et une progression pas assez rapide à mon goût... Vint enfin le premier examen du plateau. Eh oui, qui dit premier dit aussi pas le dernier… Les vérifications et la poussette n’ont pas posé soucis, mais le stress faisant, ma trajectoire pour le lent était complètement pourrie à mon premier essai et je n’ai pas pu passer les piquets. J’ai fait l’erreur de ne pas finir le parcours et de recommencer tout de suite, ce qui m'aurait permis de m'échauffer pour la suite et surtout de souffler un peu. Au deuxième essai, j’ai réussi la partie chronométrée, mais j'ai un peu trop relâché l’embrayage à la sortie du demi-tour et ai donc mordu la ligne. Fin de l’essai, candidat ajourné. C’est vexant, on a envie de faire un troisième essai car on sait que ça passerait et que le rapide et les fiches ne seraient qu’une formalité, mais c’est comme ça. Pour le deuxième examen du plateau, le lent s’est bien passé, freinage d’urgence aussi, et… Comment j’ai pu mordre la ligne de sortie pour le demi-tour de l’évitement !? Bon pas grave, deuxième essai, où je me suis tellement mis la pression que j’ai fait le demi-tour sur la moitié de la piste en manquant de me casser la gueule, et… l’évitement est passé. Soulagement, il ne reste que les fiches bien révisées, c’est dans la poche, grosse libération ! Du fait des vacances d’été, je n’ai une date pour le passage de la circulation qu’un mois et demi plus tard, pour le vendredi 26 août. Les 2x2 heures de leçon avant étaient un vrai plaisir malgré la canicule, avec certes de l’agglo, mais aussi des routes de montagne avec un vrai travail sur les trajectoires (bon on n’est pas allés comme les motards croisés jusqu’à poser le genou, mais quand même, c’était kewl !). L’examen en lui-même était plutôt cool, beaucoup moins stressant que le plateau. Je suis passé en dernier, après deux candidats, une première qui a eu surtout de l’agglo et a écopé de remarques sur ses distances de sécurité et sur un arrêt non justifié à un rond point, et un deuxième qui a eu des routes de montagne mais a du passer son temps coincé derrière un touriste parisien qui se traînait. J’ai eu pour ma part de l’agglo avec un examinateur qui cherchait désespérément un café ouvert (qu’il n’a pas trouvé). L’examinateur n’a pas fait de remarques, le moniteur en a fait en disant qu’on avait moins bien conduit que lors des leçons, mais sans fautes graves, bref, on sait pas, et on aura le résultat sur internet. Résultat qui n’est tombé que ce matin, et vous vous doutez que si j’ai écrit ce (long) post, c’est que j’ai enfin le droit de conduire une moto seul ! Manque plus que la moto ? Eh bien non, j’étais allé en chercher une avec une remorque fin juin (comptant rouler avec début juillet, mais bon, je n’ai pu faire que faire un peu tourner le moteur de temps en temps en attendant !). C’est une Yamaha FZ6 Fazer ABS de fin 2006. Elle n’est pas parfaite esthétiquement parlant, avec quelques traces de vie sur le carénage, et il y a la révision des 40.000 kms à faire, mais elle a été bien entretenue et est bien équipée (top case + valises latérales, une veste et deux antivols fournis avec la moto), et elle n’était pas bien chère, ce que souhaitais pour une première moto. Il ne me reste plus qu’à l’assurer, puisqu’elle ne l’était pas dans mon garage. Manque plus que l’équipement alors ? Non, je l’avais pris pour les leçons en profitant de la (grosse) réduction moto-école : veste textile avec les renforts qui vont bien et deux doublures (pluie et hiver) amovibles, le pantalon qui va avec, des demi bottes, et des gants été et hiver. Je suis très content de la veste et des gants : bien aérés et agréables même pendant la canicule. Le pantalon et les bottes un peu moins mais ça reste supportable. Manque un casque et une dorsale que j’irai chercher ce soir si les prix sont corrects, sinon je commanderai sur i-casque. Ce week-end je devrai pouvoir rouler donc ! Il faudra que je prenne mes marques avec ma moto, j’ai une conduite de toute façon plus pépère que Fangio, mais je prendrai tout de même du plaisir Ensuite je prendrai à moyen terme une caméra avec moi. Je ne sais pas si je ferai des motovlogs, mais quand je vois comment les gens se comportent sur la route, je me dis que même sans partager c’est bien d’avoir une trace de ce que l’on voit. Quoi qu’il en soit, comme certains d’entre vous ont contribué à mon arrivée dans le monde de la moto (merci à vous !), il me paraissait tout naturel de partager mon histoire ici ! Désolé tout de même pour le roman (bravo à ceux qui sont arrivés au bout), voici une moto-patate pour m’excuser. les potos !

Tes retours sont intéressants, de mon côté les leçons pour le plateau ne se sont pas passés comme ça du tout : c'était une ou deux leçons pour apprendre à manier la moto (position, regard, gestes, ...) sur des demi-tours et des huit avant de commencer les entraînements au lent et au rapide, mais il n'y avait pas du tout les exercices que tu fais. Alors c'était peut-être plus rapide, mais je pense que tu apprends énormément sur l'équilibre et toutes les façons d'influencer le comportement de sa moto, pour vraiment la contrôler plutôt que de la diriger tant bien que mal, je pense que ça doit être intéressant

D'avoir une plage d'utilisation très large, ce qui permet plus de souplesse et de polyvalence à mes yeux Pouvoir monter dans les tours n'oblige pas à toujours aller taper la zone rouge ! Mais bon c'est un peu le même débat que essence ou diesel pour la voiture, comme dit le monsieur, sauf que là il n'y a pas d'aspect pratique / économique qui rentre en jeu, c'est juste une question de préférence personnelle, et comme dit le monsieur, l'égoût et les couleuvres, ça ne se discute pas

Mécaniquement le rupteur sur les motos et voitures (essence) récentes, c'est juste une coupure électronique de l'injection et/ou de l'allumage, et concrètement ça n'use pas plus le moteur qu'être au régime juste en dessous du rupteur. Par contre un haut régime prolongé ou régulier, surtout avec une huile de mauvaise qualité ou usagée (périodicité de vidange annuelle non respectée parce que peu de kilomètres parcourus par exemple), ça abîme le moteur à la longue oui. Et les surrégimes (au dessus du rupteur, par exemple au rétrogradage ou suite à une préparation douteuse), là il suffit d'une fois pour abîmer le moteur. Concernant le retour de flamme, sur un deux temps je ne saurais pas dire, mais sur un quatre temps si ça remonte jusqu'au moteur tu abîmes les soupapes (même effet que le cliquetis que les motoristes cherchent à éviter à tout prix).

Dans la campagne à côté du Nouvion en Thiérache

Le tracé passe aussi à 2 kms de chez mes parents (Bon choix de route d'ailleurs !)

Un blouson bien aéré que tu recouvrerais avec un sur-vêtement de pluie quand il y a vraiment beaucoup d'eau ne serait pas envisageable ?

J'ai un blouson 3 en 1 avec cette doublure imperméable. Effectivement elle protège bien et ne prend pas beaucoup de place, mais je vois ce que veut dire Toune : ce n'est pas ce qu'il y a de plus agréable au toucher (bon perso ça me dérange pas plus que ça, je porte quelque chose en dessous :P), mais surtout c'est très chiant à mettre et à enlever. Je vois plus ça comme une utilisation mi-saison, qui rend le blouson un peu plus chaud et totalement imperméable, que pour utilisation selon les conditions météo.

Là où je suis on a 10-15 minutes de trajet (donc les heures se prennent toujours par deux, ça fait 20-30 minutes sur 2h15 grosso modo parce qu'on déborde toujours). La première fois, si on a aucune expérience moto, on prend la 125, à l'aller on est derrière, on fait ensuite deux heures de prise en main, et si tout se passe bien (et si on le sent bien), au retour on conduit la moto avec le moniteur en passager, qui peut du coup donner des conseils (et surtout aider à ne pas être tendu comme un ressort sur la moto ) Si tout s'est bien passé, la fois d'après on refait pareil avec la CB500, et encore une fois si tout se passe bien avec la MT-07, et ensuite on est seul sur la moto Perso ça me plait bien, ça permet de travailler un petit peu la circu plutôt que d'avoir un "temps mort", et puis c'est aussi sacrément kiffant, sans que, même au début, ça ne me paraisse inconfortable.

Il me semble par contre qu'acheter comptant n'est plus un argument aujourd'hui pour négocier une remise, maintenant que tous les constructeurs proposent leurs propres plans de financement, ils préfèrent les vendre